La Grande Epicerie de Paris est l'endroit idéal si on a de l'argent à dépenser. Moi hier, j'étais plutôt d'humeur à dépenser... Après m'être cassée le nez devant chez Christophe Adam fermé et été calmée par la queue au salon de thé Angelina, je suis retournée chez Boco. Comme dans le train, c'est hors de prix et pas très bon, je me suis dit autant aller chez Boco. J'ai pris une salade croquante de racines , gelée, pommes betterave d'E. Renaut *** (étonnante mais sublime), une banana split de F. Bau (résultat intéressant même si la banane donne rapidement une couleur un peu terme à cette succulente mousse de chocolat blanc), un cake banane/noisette de C. Michalak (mon chouchou) et du pain (excellente mie mais croûte cramée).
Après j'ai filé à la Grande Epicerie de Paris. J'avais en tête d'acheter des pistoles de chocolat Valrona (chocolat utilisé par les grands pâtissiers), la délicieuse Mercotte m'ayant informée qu'on pouvait désormais en trouver là-bas. J'ai acheté IVOIRE (chocolat blanc) et JIVARA (chocolat lait). Bon là soyons honnête, ça coûte un bras. N'étant plus à ça près, je me suis dit qu'un bon jambon ibérique à ... euros le kilo, en tranches accompagnerait parfaitement ma salade... En fait, j'en avais trop (120g) si bien que je l'ai mis à l'apéro ce midi...
Et puis, j'ai terminé mes emplettes en achetant les fameux bouillons Ariaké que Marie et Audrey vantent malgré leur prix élévé.
Bilan: je pense faire de bons plats...
Je vais enfin pouvoir faire les recettes de Monsieur Coupel... d'il y a deux ans ;)